Un soplo fuerte, inesperado y frío,
por los senderos libres y desiertos
barrió las secas galas del estío...

M. Hernández

viernes, 29 de junio de 2012

Un enfrentamiento entre islamistas y tuareg deja 20 muertos en Mali

El grupo islamista que secuestró, hace nueve meses, a dos rehenes españoles se enfrentó este miércoles a tiros a los tuareg moderados en Gao, a los que prácticamente expulsó de esa ciudad, la segunda en importancia del norte de Malí. El enfrentamiento ha causado por lo menos 20 muertos, según han informado testigos.

El desenlace de los combates refuerza aun más el control de los movimientos más extremista sobre ese inmenso territorio desértico y semidesértico de 830.000 kilómetros cuadrados del que ya expulsaron en marzo al Ejército regular maliense.

El Movimiento para la Unidad del Yihad en África Occidental (MUYAO), una facción terrorista que participó en la conquista de Gao, atacó por la mañana los dos cuartelillos del Movimiento Nacional para la Liberación del Azawad (MNLA), un grupo laico tuareg partidario de la independencia del norte de Mali al que llama Azawad.

"Se disparan con metralletas y con morteros", declaró al teléfono Alassane Meiga, director de Radio Fitila, una emisora de radio de Gao. "Se ven muertos en las calles", añadió un vecino de la ciudad. Los combates se desarrollaban alrededor del Gobierno Civil y del depósito elevado de agua. El MNLA había pedido refuerzos, pero estos no llegaron a tiempo.

Si se confirma la expulsión de los moderados del MNLA la ciudad quedará en manos del MUYAO y, sobre todo, de Ansar Dine (Defensores de la Fe), un grupo tuareg radical que trabaja codo con codo con los islamistas más extremistas. En Tombuctú, la principal ciudad del norte de Malí, Ansar Dine colabora estrechamente con la rama magrebí de Al Qaeda.

Los enfrentamientos del miércoles por la mañana se produjeron un día después de que una manifestación de jóvenes fuera reprimida a tiros por el MLNA, provocando al menos 20 muertos, según las fuentes Los jóvenes protestaban por el asesinato, a manos de combatientes del MLNA, de un profesor y concejal electo de la ciudad de Gao, Idrissa Oumourou. Al parecer, fue asesinado después de que se negara a entregar su motocicleta a los rebeldes. El MNLA ha desmentido cualquier participación en estos hechos que describe como "provocaciones" para perjudicarle.

Además de los dos cooperantes españoles, Ainhoa Fernández y Enric Gonyalons, el MUYAO mantiene secuestrados a una italiana y a siete argelinos, incluso al cónsul de Argelia en Gao, al que capturó a finales de marzo. Ha trasladado a sus rehenes europeos a una treintena de kilómetros de la ciudad poniendo así de manifiesto que se mueve con total libertad por ese inmenso territorio.
NOTICIAS RELACIONADAS
Selección de temas realizada automáticamente con
EN EL PAÍS

jueves, 28 de junio de 2012

La MUJAO HA TOMADO GAO

BAMAKO - Le gouvernorat de la ville de Gao (nord-est du Mali), qui servait de quartier-général à la rébellion touareg pour tout le Nord, a été pris mercredi par les islamistes après plusieurs heures de combats qui ont fait des victimes parmi les combattants touareg, ont rapporté des témoins à l'AFP

Les islamistes du Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao) « sont entrés à l'intérieur du gouvernorat. Les combattants du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA, rébellion touareg) ont fui, d'autres ont été tués, d'autres arrêtés », selon le propriétaire de la station-service qui jouxte le gouvernorat.

« Je suis devant le gouvernorat, les moujahidine sont entrés à l'intérieur, ils contrôlent le gouvernorat et les environs », a affirmé un autre témoin, Issa Fané, membre de l'asssociation des ressortissants de Gao.

Selon lui, il y a « des blessés, des morts, des prisonniers » dans les rangs du MNLA.

Ces témoins ont affirmé qu'après avoir pris le contrôle du gouvernorat, les combattants du Mujao se dirigeaient mercredi après-midi vers un camp militaire tenu par le MNLA situé près de l'aéroport de Gao.

Un ancien policier malien en poste à Gao, qui ne travaille plus depuis la prise de la ville par différents groupes armés il y a trois mois, a affirmé que « plusieurs prisonniers du MNLA sont actuellement au commissariat » central.

« Le Mujao contrôle actuellement le terrain. Des prisonniers du MNLA sont au commissariat, d'autres ont fui la ville, d'autres sont morts ou blessés. mais c'est la débandade » dans les rangs du mouvement rebelle touareg, a-t-il dit.

Les témoins interrogés ont précisé que les rues de la ville étaient presque totalement désertes. « Tout le monde est à la maison, très peu de gens sont dehors », a dit l'un d'eux.

La tension était vive ces derniers temps entre le MNLA, mouvement laïque qui a déclaré unilatéralement l'indépendance du nord du Mali, et les islamistes dont l'objectif proclamé n'est pas l'indépendance du Nord, mais l'application de la charia (loi islamique) dans tout le Mali.

Depuis fin mars/début avril, le nord du Mali est tombé aux mains des groupes armés islamistes que sont le Mujao et Ansar Dine (Défenseurs de l'islam), soutenus par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), du MNLA et de divers autres groupes criminels.

Cette chute de plus de la moitié du territoire malien a été précipitée par un coup d'Etat à Bamako qui, le 22 mars, a renversé le président Amadou Toumani Touré.

Depuis, l'armée malienne, en pleine décomposition, est incapable de reprendre le terrain perdu et les autorités de transition mises en place à Bamako après le retrait des putschistes du pouvoir le 6 avril paraissent impuissantes.

miércoles, 27 de junio de 2012

Enfrentamientos en GAO

Al menos tres personas han muerto en diversos enfretamientos en GAO

les dejo la noticia

******************************


BAMAKO – Au moins trois personne ont été tuées par balle et plusieurs ont été blessées mardi à Gao, dans le nord-est du Mali, lors d'une marche contre les groupes armés qui occupent la ville et qui ont tiré sur les manifestants, ont affirmé des témoin à l'AFP.

Ces violences ont eu lieu lors d'une manifestation organisée pour protester contre la mort d'un conseiller municipal de Gao abattu lundi. Certains témoins ont accusé les rebelles touareg d'avoir tiré, d'autres ont indiqué qu'il était difficile de déterminer qui des islamistes qui contrôlent en partie la région ou des rebelles touareg avait tiré.

Nous marchons pour protester contre la mort de notre conseiller municipal, a déclaré en fin de matinée Oumar Diankanté, enseignant à Gao. Les gens du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA, rébellion touareg) tirent sur nous, il y a déjà un mort que j'ai vu, mais d'autres parlent de plusieurs morts.

C'est grave! Les rebelles (du MNLA) tirent sur nous parce que nous marchons, a confirmé un autre témoin sous couvert de l'anonymat.

Une source hospitalière à Gao a affirmé que cinq blessés par balle ont été admis à l'hôpital.

Elle a précisé qu'il était difficile de savoir si c'étaient les membres des groupes islamistes armés – Ansar Dine (défenseur de l'islam en arabe), le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), soutenus par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) – également présents à Gao, ou ceux du MNLA, qui avaient ouvert le feu.

Les marcheurs entendaient protester contre l'assassinat lundi soir à Gao par des hommes armés d'Idrissa Oumarou, enseignant et élu local membre de l'Alliance pour la démocratie au Mali (Adéma), formation du président malien de transition, Dioncounda Traoré.

Mardi en début d'après-midi, la manifestation se poursuivait et des tirs étaient toujours entendus à Gao, selon des témoins. Ils ont affirmé que des jeunes ont érigé des barricades et brandi le drapeau national du Mali.

Nous ne voulons plus des gens du MNLA, ni du Mujao chez nous à Gao. Il faut que l'armée malienne vienne rapidement pour nous aider à chasser les bandits armés, a déclaré Moustapha Maïga, un élu d'une localité proche de Gao.

C'est dans cette ville qu'en mai avait déjà eu lieu la première manifestation de colère contre l'occupation de la ville par les groupes armés, en particulier islamistes. Des hommes armés avaient empêché des jeunes de jouer au football et de regarder la télévision, ce qui avait provoqué de violentes manifestations anti-islamistes, qui avaient été réprimées, faisant au moins cinq blessés.

Le nord du Mali est le théâtre de violences et de violations des droits de l'Homme depuis qu'il est tombé aux mains des rebelles touareg, des islamistes armés et de divers groupes criminels il y a près de trois mois, à la faveur d'un coup d'Etat militaire commis à Bamako le 22 mars, selon les ONGs de défense des droits de l'Homme.

La semaine dernière, un homme et une femme qui ont eu un enfant sans être mariés ont reçu cent coups de fouet chacun à Tombouctou (nord-ouest), donnés par des membres d'Ansar Dine qui contrôle la ville.

Début juin, des membres du Mujao avaient brûlé des cartons de cigarettes et fouetté des fumeurs à Bourem, autre localité du Nord.

( ©AFP / 26 juin 2012 15h21)

lunes, 25 de junio de 2012

Mali: pénurie de carburant et d’électricité à Tombouctou

Falta carburante y electricidad en Tombouctou

les dejo la noticia

Depuis un peu plus de 24 heures, il n'y a quasiment plus d'électricité ni d'eau courante à Tombouctou car l'unique centrale de la ville manque de carburant. Conséquence immédiate, la chaîne du froid n'est plus assurée dans l'hôpital de la ville, ce qui est dangereux pour les médicaments. Sans compter les complications dans la vie quotidienne des habitants. À Bamako, le Haut conseil islamique du Mali promet d'agir pour aider Ansar Dine – qui contrôle Tombouctou – à collecter de l'argent pour envoyer du gazoil dans le Nord.

Désormais, et cela complique les choses, ce sont deux sociétés distinctes qui s'occupent de fournir de l'eau et de l'électricité au Mali. La Somagep est chargée de la distribution d'eau potable, et EDM, de l'électricité.

Selon des responsables des deux sociétés, un autre problème se pose : comment envoyer sur place à Tombouctou, ou ailleurs dans le Nord, du carburant pour faire tourner les machines, sans que le produit ne tombe entre les mains des islamistes ?

En attendant de trouver une réponse à ce véritable casse-tête, c'est le Haut conseil islamique du Mali (HCI) qui prend des initiatives. Selon son porte parole, l'institution qui représente officiellement les musulmans du Mali ne restera pas les bras croisés.

« Dans quelques jours, détaille-t-il, nos frères musulmans de Tombouctou et d'ailleurs risquent d'être plongés dans le noir, et nous nous battons actuellement pour rapidement trouver une solution ».

L'opération en cours consiste à débloquer et collecter rapidement des fonds – quelques millions de francs CFA – et d'acheter du carburant à convoyer de toute urgence vers Tombouctou.

En principe, dans moins de deux semaines, ce sera chose faite. Dans un passé récent, le Haut conseil islamique du Mali a organisé des convois humanitaires à destination du Nord, et les groupes islamiques qui se sont installés dans le septentrion malien ne l'ont jamais caché, leur principal interlocuteur au Sud est le HCI.



RFI/ dimanche 24 juin 2012
http://www.maliweb.net/news/insecurite/2012/06/24/article,75121.html

sábado, 23 de junio de 2012

A la Une: le nord du Mali, terre d’islam mais pas (encore) terre de charia

Par Norbert Navarro

C'est à Kidal, ville où le groupe Ansar Dine veut imposer la charia et, chose nouvelle, lancer le djihad, que s'est tenu, trois jours durant, une réunion de près de 100 personnalités de la sous région. Des personnalités loin d'être toutes d'accord avec ces projets d'Ansar Dine, tant s'en faut.

Mais au nord-Mali, les djihadistes n'en n'ont cure, car ils ont « pignon sur rue et prennent leurs ordres (auprès) d'AQMI (Al Qaïda au Maghreb islamique), dénonce le journal malien L'Indépendant. Sans Aqmi, Ansar Eddine d'Iyad Ag Ghaly cesserait d'exister. Il est pourvu en armement par la nébuleuse terroriste. Et c'est encore AQMI qui finance les djihadistes »

Vu comme ça, une conclusion s'impose pour notre confrère : pourquoi tergiverser ? « L'histoire a démontré que les différentes négociations engagées avec les terroristes se sont toujours soldées par des échecs, martèle L'Indépendant. C'est le cas des Talibans en Afghanistan, des Shebbab en Somalie et de Bokko Harram au Nigéria ».

Très va-t-en-guerre, le journal affirme que les observateurs sont « unanimes pour dire qu'au nord du Mali, une opération d'envergure sera forcement nécessaire pour neutraliser les salafistes et empêcher AQMI de renforcer son emprise sur la bande sahélo-saharienne ».


Mali : la fornicatrice, le fornicateur et le fouet

Illustration de cette mutation en marche au nord-Mali, la séance de flagellation d'un couple d'amoureux au Mali, dont la presse africaine fait grand cas ce matin.

Cent coups de fouets infligés avant-hier par le groupe Ansar Dine à cette jeune fille et ce jeune homme parents d'un enfant naturel. Dans un communiqué, le gouvernement malien a vivement protesté.

Et à Bamako, Le Républicain s'indigne, soulignant « l'impuissance » du gouvernement. « L'Etat malien est en faillite et il n'y a d'autorité au Mali que celle qui se confine au sud dans une résignation coupable, dénonce, accablé, le quotidien bamakois. Le crime de ce jeune couple qui a subi le châtiment corporel est d'avoir eu un enfant hors mariage. C'est la première fois qu'un couple est ainsi puni depuis l'occupation de Tombouctou par les islamistes d'Ansar Dine (…) Ruminant son incapacité notoire, son impuissance, le gouvernement s'en remet à la communauté internationale en la prenant à témoin », complète, résigné, Le Républicain.

Un châtiment qui scandalise au-delà des frontières maliennes. Ainsi, Guinée Conakry Info s'indigne. « Jusqu'ici, la probabilité de voir le nord du Mali se muer en Afghanistan africain, a été évoquée en termes d'hypothèse et de menace plus ou moins éloignées, énonce le site Internet guinéen (…) Malheureusement, depuis (…) le tabassage de ce fameux couple accusé d'adultère, on est en plein dans le phénomène de talibanisation sur le continent africain ».

Pour Guinée Conakry Info, on le voit, cette affaire des amoureux maliens est, à n'en pas douter, une question qui interpelle le Mali en particulier, mais aussi l'Afrique en général. « L'opinion africaine, dans son ensemble, doit être horrifiée par cette sanction d'un autre âge que les "princes" d'Ansar Dine ont réservée à ces deux tourtereaux, dont le seul crime est de s'être librement abandonnés à leurs amours », s'enflamme le site guinéen d'informations en ligne.

Il faut croire que Guinée Conakry Info n'a pas tort de penser que la flagellation des amoureux maliens interpelle toute l'Afrique puisqu'on en parle même en République Démocratique du Congo. A Kinshasa, en effet, Le Potentiel s'inquiète de l'application de la charia au nord-Mali. Alerté par l'information rapportée sur notre antenne comme sur le site Internet de l'hebdomadaire français Le Point, Le Potentiel se demande « jusqu'où iront ces mouvements rebelles qui mettent en mal la quiétude des Maliens habitant le Nord du Mali » ?

Pour le quotidien kinois, en tout cas, la Communauté internationale « devra exercer davantage des pressions sur ces insurgés islamistes afin de favoriser le retour à l'ordre constitutionnel et d'asseoir une paix durable dans ce pays important de l'Afrique du Nord ».

Nigeria : wanted, Boko Haram

Au Nigeria, Boko Haram dans le collimateur des Américains. Les Etats-Unis ont placé sur leur liste noire anti-terroriste trois dirigeants du groupe islamiste nigérian.

Et à Lagos, le quotidien Vanguard rapporte ce matin l'information, tout en soulignant que le groupe Boko Haram n'est pas, en tant que tel, « blaklisté » par Washington. Vanguard souligne cependant que cette décision américaine, qui constitue une première contre Boko Haram, « intervient peu de temps après les demandes de juristes et du ministère de la Justice de désigner le groupe entier comme une organisation terroriste étrangère ».

http://www.rfi.fr/emission/20120622-revue-presse-afrique-le-nord-mali-terre-islam-mais-pas-encore-terre-charia

8 meses

Mañana serán ocho largos meses de secuestro.

Coincidirá también la fecha entre un sábado y un domingo, igual que la
noche del 23 al 24 de octubre del 2011
Aquella noche llena de rabia e incertidumbre.Aquella noche que será
muy difícil de olvidar.

Sencillamente, esta noche los recordaremos de una forma especial.

Sólo tenemos la paciencia y la esperanza, nuestras únicas armas
irreprochables.

Como siempre he escrito

No os olvidamos
Os seguimos esperando

Saludos a las familias

saludos

Blaise Compaoré (Moustapha Chaf,) plus dure est la médiation

Ses précédents arbitrages en Guinée et au Niger plaident en sa faveur. Mais alors qu'au Mali la crise s'enlise, la mission de conciliation du chef d'État burkinabè, Blaise Compaoré, rencontre quelques obstacles.

Une médiation pour quoi faire ? Dans l'entourage du président du Burkina Faso, la question ne se pose pas. À Kosyam, les hauts et les bas inhérents à une telle entreprise, on connaît. Mais ailleurs, dans quelques Palais de la région, un léger doute s'est installé. Blaise Compaoré médiateur dans la crise malienne, était-ce une bonne idée ?

« Oui », répond Ablassé Ouédraogo. L'ancien ministre burkinabè des Affaires étrangères a mené plusieurs médiations pour le compte de l'Union africaine. Pour lui, Compaoré était, au début de la crise, le mieux placé pour mener celle-ci. Les succès de ses récents arbitrages en Guinée et au Niger plaidaient en sa faveur. « Il dispose de l'expérience nécessaire, mais aussi d'hommes de qualité à ses côtés, affirme un diplomate en poste à Ouagadougou. Quel chef d'État de la région est en mesure de fournir une équipe compétente, bien renseignée, et de faire en sorte que son ministre des Affaires étrangères se consacre exclusivement à une médiation ? » De fait, Djibrill Bassolé, nommé représentant de Compaoré dans la crise malienne, ne ménage pas sa peine pour tenter de sortir le pays voisin de ce bourbier. Charge lui est donnée de résoudre la première des équations : aider à la mise en place, à Bamako, d'un pouvoir institutionnel reconnu et accepté.

L'atout Moustapha Chafi

Compaoré peut également compter sur son conseiller spécial, le Mauritanien Moustapha Chafi, pour garder le contact avec le front nord. Celui qui est devenu, au fil des enlèvements d'Occidentaux dans le Sahel, un interlocuteur incontournable dans la libération des otages, connaît parfaitement la zone : ses codes, ses interdits et, surtout, ceux qui la gouvernent aujourd'hui.

Malgré ces atouts, des erreurs ont été commises ces derniers mois, juge un expert de la région. « La médiation nécessite d'avoir la confiance de tous les protagonistes, dit-il. Ce n'est plus tout à fait le cas. » Depuis la nomination d'un gouvernement dirigé par un ami de longue date de Compaoré (Cheick Modibo Diarra) et comprenant l'un de ses plus proches conseillers (Sadio Lamine Sow, ministre des Affaires étrangères), des critiques se font entendre à Bamako. Quant à la junte, depuis qu'elle a été pressée de signer un accord début avril, elle se méfie. « Les putschistes ont eu l'impression de s'être fait forcer la main », confie un diplomate.

Dans plusieurs capitales de la région, et notamment à Cotonou et à Niamey, on estime que Compaoré est allé un peu trop vite. « Chaque fois que des accords ont été trouvés, on est revenu dessus par la suite », note Ablassé Ouédraogo. « Blaise n'a pas encore eu les résultats escomptés, estime un ministre ouest-africain des Affaires étrangères. Il a agi rapidement en pensant qu'il pourrait gérer au fur et à mesure. Il pensait que son aura suffirait à calmer les putschistes. » D'où le souhait de Boni Yayi, le président en exercice l'Union africaine, d'impliquer cette dernière et l'ONU.

« Envoyer des troupes dans le Nord ne résoudra rien »

La prise de position du président béninois est peut-être guidée par un désir de revanche, après que Ougadougou a remporté la présidence de la Commission de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cedeao), que Cotonou convoitait. Mais il faut y voir aussi une divergence d'appréciations : Boni Yayi et son homologue nigérien, Mahamadou Issoufou, sont favorables à une intervention militaire rapide dans le nord du Mali sous la forme d'une opération africaine avec un soutien occidental. Sur ce point, Compaoré est plus modéré. « Envoyer des troupes dans le Nord ne résoudra rien si une solution politique n'est pas trouvée. Cela ne fera qu'envenimer la situation », estime un de ses collaborateurs.

Va-t-en-guerre contre négociateurs ? La réalité est peut-être plus nuancée. Les positions opposées pourraient aussi être les deux volets parallèles - militaire et diplomatique - d'une seule et même stratégie, et la médiation du Burkinabè finalement porter ses fruits.

22/06/2012 à 11h:22 Par Rémi Carayol / jeuneafrique.com

miércoles, 20 de junio de 2012

Activistas prosaharauis 'toman' el Congreso

Un grupo de activistas prosaharauis, acompañados por la actriz Pilar Bardem, han acudido al Congreso de los Diputados, donde han protestado por el conflicto del Sáhara.

Los activistas han acudido a la Cámara con motivo de la pregunta que la Izquierda Plural ha realizado sobre el conflicto del Sahara Occidental y con la que han pedido al Gobierno que se implique en esta cuestión e inste a Marruecos a parar las "torturas" y los atentados contra los derechos humanos de este pueblo.

Además, hoy coincidía que iba a ser recibido en sede parlamentaria Lafkir Kaziza, joven activista, que abandonó el domingo pasado una huelga de 17 días que mantuvo por el daño físico provocado por la intervención policial del día 15, ejecutada, según los propios efectivos policiales "a petición del gobierno de Marruecos" en territorios del Sáhara Occidental.

En la sesión de control, Nuet ha preguntado al ministro de Asuntos Exteriores, José Manuel García-Margallo, qué está haciendo el Ejecutivo por el conflicto y en concreto por los saharauis que fueron detenidos durante el "sangriento" desalojo del campamento Gdaim Izik en noviembre de 2010.

García-Margallo le ha respondido que el Gobierno no ha permanecido callado ante estos sucesos, y ha expresado al Reino de Marruecos su "preocupación" por lo ocurrido y por la situación de los detenidos, además de asegurar que seguirán "atentos" a que los derechos humanos "sean respetados".

Margallo ha lamentado la pérdida de vidas y los heridos de aquel desalojo, ha dicho que los detenidos están siento sometidos a un proceso judicial y ha insistido en que el Ejecutivo seguirá "atento" a su situación.

La respuesta no ha convencido al diputado de la Izquierda Plural, que llevaba una bandera saharaui bien visible en la solapa.

Tras este debate, los activistas, que han salido del hemiciclo haciendo con las manos el signo de a victoria, se han fotografiado junto a los diputados de la Izquierda Plural en la Puerta de Los Leones del Congreso, según informa Manuel Sánchez.

Allí han gritado consignas como 'Sahara Libre', 'Fuera Marruecos' y 'libertad a los presos políticos'.

Uno de los activistas ha insistido en que el Gobierno tiene que "estar a la altura" y debe apoyar el derecho a la autodeterminación del pueblo saharaui y que deje de aceptar el "chantaje" de Marruecos.

Seguimos esperando

Le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), groupe islamiste armé présent dans le nord du Mali, a annoncé mardi la « reprise » des négociations en vue de la libération de trois otages européens et de sept autres algériens, dans un communiqué à l'AFP.

"Nous annonçons la reprise des négociations sur le sort des étrangers", deux Espagnols et une Italienne, "et des Algériens que les moujahidine gardent toujours", affirme dans ce communiqué Adnan Abu Walid Sahraoui, porte parole du Mujao. "Des intermédiaires sont venus, nous avons parlé et nous allons encore parler", ajoute-t-il. L'annonce est faite au moment où le premier ministre malien est en visite en Algérie.

Le 16 mai, le Mujao avait menacé de tuer un Espagnol qu'il retient en otage avec deux femmes, une Italienne et une Espagnole, tous trois enlevés fin octobre 2011 dans l'ouest de l'Algérie. Ils travaillaient dans des camps de réfugiés sahraouis proche de Tindouf comme coopérants pour des associations humanitaires. Ce groupe terroriste né en décembre dernier réclame 30 millions d'euros pour les libérer, il revendique aussi la libération de plusieurs de ses membres détenus en Mauritanie, dont deux sont accusés d'avoir participé à l'enlèvement.

Diplomates algériens en danger

Le 5 avril, dans la ville malienne de Gao (nord est), le consul d'Algérie et six de ses collaborateurs avaient également été enlevés par le Mujao. Le consul Boualem Sias, cinq de ses fonctionnaires et un représentant de la communauté algérienne ont en effet été enlevés à l'intérieur de la représentation consulaire algérienne. Le Mujao réclame 15 millions d'euros pour les libérer. Fin avril, il avait dénoncé l'échec de négociations avec Alger, et le 8 mai, avait fixé un ultimatum de "moins de 30 jours" au gouvernement algérien pour satisfaire ses revendications. Si l'on en croit cette organisation armée l'ultimatum va expirer dans deux jours et la vie de nos représentants est plus que jamais en danger.

Le Mujao se présente comme une dissidence d'Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), organisation à laquelle il est cependant allié, de même qu'à un autre groupe islamiste armé, Ansar Dine (Défenseurs de l'islam). Ces trois groupes occupent et contrôlent une partie de l'Azawad (nord du Mali) depuis plus de deux mois. Outre ceux du Mujao, six autres otages enlevés au Niger et au Mali – tous Français – sont retenus par Aqmi.

13/6/2012


http://www.lematindz.net/news/8381-otages-au-sahel-le-mujao-reprend-des-negociations.html

la crisis alimentaria

La situación en el norte de Mali es ya muy critica.

les dejo el siguiente artículo

Dans le nord du Mali, les populations sont de plus en plus fragilisées par les effets combinés du conflit et de la crise alimentaire. Face à cette situation, le CICR et la Croix-Rouge malienne s'apprêtent à renforcer leur assistance.

« Dans ces régions rurales semi-désertiques, beaucoup de personnes que nous avons rencontrées ont à peine de quoi survivre », indique Jean-Nicolas Marti, chef de la délégation régionale du CICR pour le Mali et le Niger. « L'ensemble des activités économiques sont paralysées. Des dizaines de milliers de personnes, aussi bien déplacées que résidentes, manquent de nourriture et d'articles ménagers et d'hygiène de première nécessité, ainsi que d'accès aux soins. »

Ces dernières semaines, des équipes du CICR et de la Croix-Rouge malienne ont pu se rendre dans des zones reculées des régions de Kidal, Tombouctou et Gao, pour la première fois depuis fin mars.

« La combinaison de la crise alimentaire et du conflit armé a des conséquences alarmantes pour ces populations, poursuit M. Marti. La plupart des chefs de famille ont perdu leurs sources de revenus. Pour faire face à cette situation, beaucoup de foyers sont obligés de diminuer leur nombre de repas journaliers et d'opter pour des aliments moins consistants. »

Les pillages intervenus à la suite des combats dans les principales villes du nord du Mali, début avril, ont également touché les stocks des récoltes destinées à la consommation, à la vente et à la constitution de greniers de semences. Cette situation, particulièrement difficile dans la région de Tombouctou, fragilise encore davantage les paysans, alors que débute la campagne agricole 2012-2013.

En plus de la sècheresse, les oiseaux granivores, les criquets et la crue insuffisante du fleuve Nigerrisquent à leur tour d'avoir des effets dévastateurs sur la production agricole.

Dans ce contexte marqué par la rareté des acteurs humanitaires, le CICR et la Croix-Rouge malienne se préparent à fournir une assistance en vivres et autres biens essentiels aux populations les plus vulnérables dans les trois régions du Nord malien.

Centres de santé en grande difficulté, écoles fermées

Dans ces régions, les secteurs de la santé et de l'éducation sont aussi très durement touchés par les conséquences du conflit.

La majorité des centres de santé communautaires situés en dehors des villes ne fonctionnent plus, soit parce qu'ils ont été pillés, soit parce qu'ils ont été désertés par le personnel qualifié qui y travaillait. Quant aux centres de santé encore ouverts, ils n'arrivent pas à s'approvisionner en médicaments, car le dépôt pharmaceutique régional de Gao n'est plus opérationnel.

En plus de son aide à l'hôpital de Gao et au centre de santé de référence d'Assongo, le CICR va reprendre son soutien à neuf centres de santé communautaires : cinq entre Tombouctou et Gao, et quatre sur l'axe Gao-Kidal.

Un autre problème de taille est la fermeture de la plupart des écoles dans le nord du Mali. Beaucoup d'établissements scolaires ont été saccagés et les instituteurs ont dû partir. Dans cette situation, l'un des risques majeurs est l'enrôlement des enfants dans les groupes armés.

Situation humanitaire difficile pour les réfugiés au Burkina Faso et en Mauritanie

Dans le nord du Burkina Faso, les réfugiés maliens sont aujourd'hui estimés à plus de 60 000. Cetafflux de personnes ne fait qu'aggraver les conditions déjà précaires qui prévalent dans le Sahel burkinabè, d'autant plus que les réfugiés sont arrivés avec leurs troupeaux, leur principal moyen de subsistance. Les pâturages ne suffisent pas à alimenter ces quelque 150 000 têtes de bétail. De plus, la présence d'animaux en surnombre provoque une dégradation de l'environnement et un risque de tensions entre populations hôtes et réfugiées.

Dans le sud-est de la Mauritanie, installés dans une zone aride et difficile d'accès, plusieurs dizaines de milliers de réfugiés maliens ont aussi besoin d'assistance. Ils manquent d'articles ménagers essentiels, ainsi que de lait. Ils se sont aussi déplacés avec leur bétail, dont l'état de santé est souvent précaire.

Dans ces deux pays, comme au Niger, le CICR suit de près l'évolution de la situation humanitaire des réfugiés, en coordination avec d'autres acteurs humanitaires.

Le CICR prévoit de distribuer des couvertures, des articles d'hygiène et des assortiments d'ustensiles de cuisine à la plupart des réfugiés en Mauritanie, auxquels il souhaite aussi distribuer du lait en poudre. En collaboration avec la Croix-Rouge burkinabè, le CICR a déjà fourni des articles similaires, en mars et avril derniers, à 18 000 personnes qui avaient trouvé refuge dans la province de l'Oudalan, au Burkina Faso. Enfin, une campagne de traitement du bétail emmené dans les deux pays par les réfugiés est envisagée.



GENEVE, Suisse, 19 juin 2012/African Press Organization (APO)/

http://www.maliweb.net/news/societe/solidarite/2012/06/19/article,74198.html

El gobierno del Azawad

Ya tenemos gobierno en el Azawad
28 miembros

sin más comentarios, les dejo la noticia

Investiture du gouvernement de l'azawad, vendredi dernier : Après les noms, voici les visages

Après l'invasion rapide des régions de Kidal, Tombouctou et Gao – avec l'aide notamment du mouvement islamiste Ançardine -, le Mouvement National de Libération de l'Azawad n'a point traîné les pieds pour conforter sa position sur les territoires revendiqués. Une proclamation de la République azawadienne a ainsi été aussitôt suivie de la mise en place d'un gouvernement. Il s'agit d'une équipe de vingt-huit (28) membres où la place est certes faite aux représentants de toutes les ethnies constitutives du septentrion, mais avec une forte prédominance de la frange touarègue – ou du moins de la minorité de touarègue ayant été sensible à la sirène de l'irrédentisme.
Après la publication d'une première desdits membres, Aurore est en mesure de porter des visages sur les identités, grâce à la photo de famille ci-contre. Elle a été prise, comme il est loisible de le constater, devant le Gouvernorat de Gao où l'administration du MNLA a élu domicile et essaie, contre vents et marées, de s'inscrire dans une logique régalienne avec même la délivrance de laissez-passer en vue contrôler les mouvements entre le territoire occupé et la partie du Mali soumise à l'administration de Bamako.
Cette photo de famille permet par ailleurs de lever toute équivoque sur le penchant indépendantiste de nombreuses personnalités. On y dénombre, entre autres, des acteurs dont la position était jusque-là ambiguë et peu lisible, à l'instar du Conseiller National Aroudeïni Ag Hamatou, un notable de Ménaka considéré jusque-là comme loyaliste. Les figures les plus ouvertement affichées, longtemps absentes au Mali, ont même effectué le déplacement pour ne pas rater la photo de famille, vendredi dernier, à l'occasion de l'investiture officielle du gouvernement de l'Azawad. C'est le cas de Moussa Ag Assarid, ministre de la coopération internationale, ainsi que de la Conseillère nationale Nina Oualet, seule femme du Gouvernement apparemment.
Quoi qu'il en soit, la plupart des membres du Gouvernement de l'Azawad demeurent fortement contestés par leurs communautés respectives majoritairement fidèles à la devise d'un Mali et indivisible. C'est le cas de Mohamad Zeyni Aguissa qui est l'objet de cet avis ci-contre, preuve de la rupture évidente entre lui et les siens.

Avis
Le chef de village de Forgo songhoy, l'Honorble député Abouzeïdi Ousmane Maïga, informe l'opinion publique nationale et internationale de même que toutes les communautés Songhoy, Peulh, Touaregs et Arabes que le nommé Mohamad Zeyni Aguissa, membre du prétendu Gouvernement de l'Azawad, bien que natif de forgo, n'engage que sa propre personne.
Par conséquent, ses agissements ne sauraient engager la communauté du village de Forgo et de la commune de Sonni Aly Ber.
Le chef de village de Forgo Songhoy
Honorable
Abouzeïdi Ousmane Maïga

1.Président: Bilal Ag Acherif
2.Vice-President : Mahamadou Djeri Maiga
3.Secrétaire à la Présidence: Mahmoud Ag Aghali
4. Chargé des relations Extérieures et de la Coopération Internationale : S.E. Hama Ag Mahmoud
5.Chargé de la Défense Nationale :Colonel Mohamed Ag Najim
6.Chargé de l'Administration du Territoire : Alla Ag Elmehdi
7.Chargé de la Sécurité Intérieure : Colonel Hassane Ag Fagaga
8.Chargé de l'Economie et des Finances : Altanata Ag Ebalagh
9.Chargé de l'Information : Mossa Ag Assarid
10.Chargé de la Justice :Saïd Ben Bella
11.Chargé du Commerce et des Transports : Bilal Ag Ousmane
12.Chargé de l'orientation et de la Prédication Islamique : Abdallah Ag Albackaye
13. Chargé des Mines, de l'Energie et de l'Eau : Ahmed Mohamed Ag Guidi
14.Chargé de la Communication et des Nouvelles Technologies : Mohamed Lamine Ould Ahmed
15. Chargé des Azawadi de l'Extérieur, des Droits de l'Homme et de l'Action Humanitaire : Ibrahim Ag Mohamed Assaleh
16.Chargé de la santé et des Affaires sociales : Habitika Ag Assamado
17.Chargé de l'Education : Monsieur Abdoulkarim Ag Matafa
18. Chargé de l'Agriculture, de l'Elevage et de la Pêche : Ghabdi Ag Mohamed Ibrahim
19.Chargé de la Cohésion Sociale, du Règlement des conflits et de la Réhabilitation de l'Autorité Coutumière : Mohamed Ousmane Ag Mohamedoune
20. Chargé de la Jeunesse et des Sports : Mohamed Zeyni Aguissa Maiga
21. Chargé de la Culture, de l'Artisanat et du Tourisme : Aroudeyni Ag Hamatou
22.Chargé de l'Environnement : Baye Ag Dicknane
23.Chargée de la Promotion de la Femme, de l'Enfant et de la Famille : Nina Wallet Intalou
24. Chargé des Domaines de l'Etat, du Foncier et de l'Urbanisme : Akli Iknane Ag Souleymane
25.Chargé Fonction Publique Emploi et formation professionnelle : Abdoulaye Seydou Dicko
26.Chargé des anciens combattants, des Martyrs et des Victimes de guerre : Youssouf Ag Acheick
27.Chargé du Plan et de la Statistique : Assarid Ag Mohamed
28.Porte-Parole du Conseil : Hama Ag Sidahmed

http://www.maliweb.net/news/la-situation-politique-et-securitaire-au-nord/2012/06/19/article,73965.html

domingo, 17 de junio de 2012

Los últimos viajes......

Los últimos viajes en este mes nos llenan de esperanza

El ministro de asuntos exteriores francés visitó Mauritania, y los dirigentes del MLNA y An Sardine visitaron a Campoare, el presidente de Burkina Faso.
De igual forma, el presidente de Niger visitó Paris.

Todas estas idas y venidas nos hacen pensar que las palabras se mantienen por encima de las amas, por encima de la violencia.
Esperemos que se siga en este camino.

Sencillamente una mirada global de la actividad en la zona.

Y como siempre escribo

No os olvidamos
Os seguimos esperando

sábado, 16 de junio de 2012

Les otages français au Sahel sont "en bonne santé"

Según el presidente de NIger, los secuestrados franceses del Sahel
tienen buena salud.

Para todos
os seguimos esperando

saludos


Le président nigérien, Mahamadou Issoufou, a déclaré jeudi 7 juin sur le chaîne France 24 que les six otages français retenus au Sahel étaient "vivants" et "en bonne santé". "Je crois qu'ils sont vivants et en bonne santé. Vous me permettrez de ne pas en dire plus", a déclaré le chef de l'Etat nigérien.

Al-Qaida au Maghreb islamique (AQMI) détient six Français. Quatre d'entre eux, des employés du groupe nucléaire public Areva et de son sous-traitant Satom, ont été enlevés le 16 septembre 2010 à Arlit dans le nord du Niger, avec trois autres personnes, libérées depuis. Deux autres ont été kidnappés le 24 novembre 2011 par des hommes armés dans leur hôtel à Hombori, dans le nord du Mali, et emmenés vers une destination inconnue.

NÉGOCIATIONS COMPLIQUÉES PAR LA CRISE MALIENNE

La crise au Mali, pays coupé en deux et dont tout le Nord est aux mains de groupes armés islamistes et touareg, a éloigné la perspective d'un règlement rapide de cette question. Après le coup d'Etat militaire du 22 mars qui a chassé du pouvoir le président Amadou Toumani Touré, les Touareg du Mouvement national de libération de l'Azawad et des milices islamistes liées à AQMI se sont emparés de plusieurs villes du nord du Mali, dont Tombouctou. Certains rebelles touareg alliés aux islamistes étaient des intermédiaires importants dans les négociations menées depuis des mois sur le sort des otages. Les autorités françaises ont récemment reconnu que cette situation "compliquait sérieusement" les tractations en vue de la libération des otages.

Selon un document diffusé jeudi par TF1, le chef des ravisseurs des otages français, Abdelhamid Abou Zeid, pourrait se trouver à Tombouctou, où il a été filmé par un habitant il y a une semaine. L'émir de la phalange la plus radicale d'AQMI apparaît au volant d'un pick-up, en compagnie d'une escorte légère, alors qu'il se rend dans une pharmacie du centre-ville, selon la chaîne de télévision. Selon TF1, la présence de l'homme le plus recherché par les services de renseignement français "ne pose visiblement aucun problème, aucune crainte chez lui d'être arrêté".

lemonde.fr

Une délégation du groupe islamiste Ansar Dine va rencontrer Compaoré

Importante esta noticia en el contexto actual.
Tanto el MLNA como Ansar Dine están en conversaciones con el
presidentes M. Compaoré.
Siempre, las mediaciones de Campoare han sido importantes en la
liberación de secuestrados en el Sahel.

Una noticia más para alimentar nuesetra esperanza.

saludos


BAMAKO – Une délégation du groupe islamiste Ansar Dine qui contrôle avec d'autres mouvements armés le nord du Mali, est en route pour Ouagadougou où elle va rencontrer le président burkinabè Blaise Compaoré, médiateur de l'Afrique de l'Ouest dans la crise malienne, a annoncé vendredi ce groupe.

Nous avons une délégation qui est en route pour Ouagadougou pour rencontrer le médiateur Blaise Compaoré pour parler de la crise, a affirmé à l'AFP Oumar Ag Ahmed, l'un des porte-parole d'Ansar Dine dans le nord du Mali.

Le porte-parole a précisé que la délégation, dont ne fait pas partie Iyad Ag Ghaly, leader d'Ansar Dine (Défenseurs de l'islam), se trouvait déjà sur le territoire du Burkina Faso et que les entretiens avec M. Compaoré allaient porter sur le rétablissement de la paix dans le nord du Mali.

M. Compaoré, médiateur de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao), avait déjà rencontré le 9 juin une délégation du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA, rébellion touareg) qui fait partie des groupes armés qui occupent et contrôlent le nord du Mali.

A l'issue de sa rencontre avec le chef de l'Etat burkinabè, la délégation de cette rébellion, qui a unilatéralement proclamé l'indépendance de l'Azawad (nord du Mali), s'était déclarée disponible pour des négociations de paix.

Mi-mai, le Burkina avait fait savoir que des consultations, via des émissaires dépêchés dans le Nord malien, avaient démarré avec les groupes armés, dont le MNLA, qui contrôlent depuis fin mars cette région.

Après avoir lancé l'offensive contre l'armée malienne mi-janvier, le MNLA s'est retrouvé ces dernières semaines supplanté sur le terrain par le groupe Ansar Dine et son allié jihadiste Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).

Un projet de fusion entre le MNLA, au départ sécessionniste et laïc, et Ansar Dine, qui prône la charia (loi islamique) dans tout le Mali, a été suspendu récemment en raison de fortes divergences sur la question de l'application de la charia.

Dans la foulée d'un putsch le 22 mars à Bamako qui a renversé le régime du président Amadou Toumani Touré, l'immense région désertique du nord du Mali est tombée aux mains des mouvements armés qui n'ont rencontré aucune résistance de la part de l'armée malienne en déroute, démoralisée et sous-équipée.

(©AFP / 15 juin 2012 18h28)

http://www.maliweb.net/news/insecurite/2012/06/15/article,73414.html

viernes, 8 de junio de 2012

Algunas noticias desde Mauritania

Algunas noticias desde Mauritania referentes al norte de Mali.

Interesante las manifestaciones de las mujeres en

Nord Mali : Des femmes manifestent, à Kidal, contre la présence des combattants d'Ançar Edine
juin 7th, 2012 Saharamedias

La ville de Kidal, à l'extrême du nord Mali, a connu mercredi, des manifestations de femmes demandant au mouvement armé d'Ançar Edine de quitter la ville et protestant contre " les mesures draconiennes " que ces manifestantes accusent la milice d'avoir imposé depuis sa prise de contrôle de la cité.

Et selon ce que rapportent des sources locales au correspondant de Sahara média dans la zone, la manifestation d'hier " était pacifique et n'a pas été perturbée par l'intervention des combattants d'Ançar Edine ", d'autres sources précisant que des dizaines de femmes ont parcouru les rues de Kidal en toute liberté et ont même procédé au remplacement des drapeaux de la milice sur certains bâtiments par ceux du Mouvement national pour la libération de l'Azawad (MNLA).



D'autres sources ont indiqué à Sahara média que le chef d'Ançar Edine, Iyad Ag Ghali, est arrivé à Kidal juste à la fin de ces manifestations, en compagnie du cheikh Awssa, l'un de ses proches, dans un convoi de près de 20 véhicules, et a procédé à la remise à leur place des emblèmes de l'organisation.



A signaler que les manifestations des femmes avaient commencé mardi et ont été réprimées par des hommes armés d'Ançar Edine, mais n'ont pas été inquiétées quand elles ont repris le mercredi.7

http://adrar-info.net/?p=9444#more-9444

Y otra noticia sobre el financiamiento de grupos armados, de la cual
nada tenemos que opinar

Le Canard Enchaîné l'a révélé hier : Le Qatar finance les terroristes d'Aqmi et du Mujao
juin 6th, 2012 Cridem
L'hebdomadaire français Le Canard Enchaîné a, dans son édition d'hier, jeté un vrai pavé dans la mare. Le journal qui cite la Direction du renseignement français (DRM) décrit comment le Qatar finance les terroristes d'Aqmi (Al Qaïda au Maghreb islamique) et le Mouvement pour l'unicité et le djihad en Afrique de l'Ouest (Mujao, auteur de l'enlèvement le 5 avril de l'année en cours de sept diplomates algériens à Gao, ville du nord du Mali), ainsi que Ançar Eddine.

"Selon les renseignements recueillis par la DRM, les insurgés touareg du MNLA (indépendantistes et laïcs), les mouvements Ançar Dine, Aqmi (Al Qaïda au Maghreb islamique) et le Mujao (djihad en Afrique de l'Ouest) ont reçu une aide en dollars du Qatar".

"Les prises d'otages, les trafics de drogue ou de cigarettes ne peuvent donc suffire à ces islamistes très dépensiers" commente Le canard Enchaîné. "Le tout nouveau ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, n'ignore aucune des mauvaises nouvelles arrivées d'Afrique subsaharienne.

Et rien de l'implication de "notre ami du Qatar", formule d'un officier d'état-major, dans la "capture" du Nord Mali par plusieurs mouvements djihadistes", écrit l'hebdomadaire qui avait déjà, le 26 mars, cité des accusations portées par la direction générale de la sécurité extérieure (services secrets français) contre "ce riche émirat pétrolier".

Dans son édition d'hier, Le Canard Enchaîné relève la confirmation des accusations par la DRM qui décrit le Sahel, immense territoire, comme "un nouveau sanctuaire terroriste" à cause de l'activité qatarie, notamment. "Personne ne devrait s'en étonner", estime Le canard Enchaîné, qui rappelle qu'en France, "depuis trois ans, politiques et militaires sont conscients du danger".

L'"ami et allié" qatari de Sarkozy

"Au début de cette année, plusieurs notes de la DGSE ont alerté l'Elysée sur les activités internationales, si l'on ose dire, de l'émirat du Qatar", ajoute l'hebdomadaire. Des notes restées lettre morte, selon le journal. "Et sans vraiment insister, diplomatie oblige, sur le patron de cet Etat minuscule, le cheikh Hamad Ben Khalifa Al-Thani, que Sarko a toujours traité en ami et allié", écrit Le Canard Enchaîné.

Le Qatar semble investir là où, il y a quelques années, on ne l'attendait pas. Des investissements malheureusement loin d'être faits dans un but de stabilité.

"Les officiers de la DRM affirment, eux, que la générosité du Qatar est sans pareille et qu'il ne s'est pas contenté d'aider financièrement, parfois en leur livrant des armes, les révolutionnaires de Tunisie, d'Egypte ou de Libye", ajoute l'hebdomadaire.

"Seule l'armée algérienne…"

Evoquant la situation actuelle au nord du Mali et l'instauration d'un Etat islamique tel que conçu par Ançar Eddine, le journal écrit que "leur petit Etat taliban connaît ses premières discordes entre touareg plus ou moins religieux et fanatiques de la chari'a". "Mais ces divers groupes sont désormais présents dans plusieurs agglomérations aux frontières du Niger, du Burkina Faso et de l'Algérie", ajoute le journal français.

"Autres touristes armés dont la présence est remarquée au Nord Mali : des Nigérians de la secte Boko Haram et des instructeurs pakistanais arrivés de Somalie avec une bonne expérience de la guérilla", note l'hebdomadaire qui met en doute la capacité militaire de la Cedeao (Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest) de venir à bout des organisations terroristes sévissant au nord du Mali.

"Et chacun, tels les Français qui se contentent de surveiller la zone, comme on dit, de se tourner vers l'Algérie dont l'armée est la seule capable de franchir les 1300 km de frontière du Nord Mali puis de ne faire qu'une bouchée de ces islamistes", selon Le Canard Enchaîné.

M. A.
http://adrar-info.net/?p=9434#more-9434




Y como siempre

No os olvidamos
Os esperamos

Saludos

viernes, 1 de junio de 2012

El Sahara grita «¡Libertad!» para Ainhoa y Enric

Los campamentos de refugiados al sur de Argelia rinden homenaje a los cooperantes secuestrados hace más de seis meses


"Con el secuestro de Ainhoa, Enric y Rosella han secuestrado el corazón de todos los saharauis", se lamenta la ministra de Cultura del Frente Polisario, Jadiya Hamdi. Un grupo terrorista se llevó a tres cooperantes, dos españoles y una italiana, en la noche del pasado 22 de octubre de los campamentos de refugiados en la provincia de Tinduf, en el sur de Argelia.

Era la primera vez que ocurría algo así desde que los saharuis se asentaron en esta inmensidad vacía y hostil hace casi cuatro décadas. "No descansaremos hasta encontrarlos y poner a los responsables ante la Justicia", dice firme el Primer Ministro, Abdelkader Teleb Omar.

Cae la tarde en el campamento de Dajla y los últimos rayos del sol del desierto iluminan un sencillo cartel con las fotos de de Ainhoa Fernández, Enric Gonyalons y Rosella Urru. Junto a ellos, en castellano y en árabe, una palabra: Libertad. El Frente Polisario y la sociedad civil española y de otros países han querido aprovechar la novena edición del Festival Internacional de Cine del Sahara (Fisahara) para rendir un homenaje a los tres cooperantes, que trabajaban en diferentes proyectos a favor de los refugiados.

Desde aquella infausta noche de disparos y carreras se impone la escolta para los que llegan de fuera. Los viajes de extranjeros por la zona llevan ahora solapadas unas medidas de seguridad que hasta entonces nadie consideraba necesarias. Los que nos encontramos estos días sobre el terreno vamos acompañados casi de manera permanente no solo por militares del Frente Polisario, sino también por patrullas de la Gendarmería argelina. Los organizadores del festival tratan de que todo discurra con normalidad, pero los que han vivido ya otros viajes a la zona saben que la preocupación es permanente.

"Nuestro palacio de cristal se ha roto", opina Bucharaya Beyún, delegado del Frente Polisario en España instantes antes de la inauguración, en la que no estuvo presente ninguna autoridad española. "Toda la región del Sahel se encuentra ahora amenazada", añade la ministra de Cultura, refiriéndose a una región en la que más de una decena de extranjeros se encuentran secuestrados.

Las autoridades del Polisario no esconden que la acción se llevó a cabo con la participación de saharauis que muy probablemente conocían el edificio de Rabuni (Tinduf) asaltado para llevarse a los cooperantes. De hecho, llevaron a cabo algunas detenciones sobre las que no quieren ofrecer datos.

Más allá del triple secuestro, el problema para los saharauis es tratar de mantener en pie el esencial entramado de ayuda extranjera del que dependen para seguir sobreviviendo. Y no es fácil, porque los gobiernos mantienen a su vez la alerta por el peligro que corren los extranjeros que se desplacen a la zona. Esto ha llevado ya en algunos casos a impedir la llegada a los campamentos de refugiados, al menos desde España, de algunos responsables de proyectos.

"No les olvidamos ni un minuto", asegura ante el micrófono José Taboada, presidente de la Coordinadora Estatal de CEAS (Asociaciones Solidarias con el Sahara), una de las personas que está en contacto con familiares de los secuestrados. Los autores de este "acto terrorista", añade, "han intentado cortar la solidaridad de España con el pueblo saharaui, pero no lo van a conseguir".

Los contactos de los gobiernos español e italiano no han servido hasta el momento para liberarlos. Es más, el optimismo ha dado un importante paso atrás con la creciente inestabilidad en el norte de Malí, adonde fueron trasladados por sus captores.

El ministro de Exteriores, José Manuel García Margallo, se apresuró a decir que el golpe de estado del pasado 22 de marzo en ese país no iba a afectar a las negociaciones emprendidas. Pocos días después tuvo que reconocer que se había perdido el contacto con el mediador. Lo último que está intentando el Gobierno español es solicitar la ayuda de los independentistas tuareg.

Terroristas, radicales islámicos e independentistas tuareg controlan las tres enormes provincias norteñas de Tombuctú, Gao y Kidal, más grandes que España. Han logrado expulsar al Ejército de Malí en diferentes ofensivas desde enero. La zona ya estaba además en manos de grupos de bandidos y traficantes de todo tipo. Todos ellos tejen a menudo alianzas de intereses.

http://www.abc.es/20120503/espana/abci-homenaje-secuestrados-sahara-201205031335.html

Mensajes

Algunos de los mensajes recibidos:

Estos mensajes no se han recibido en esta página.Se han recibido en  saharaindependiente.org

Todos estos comentarios alimentan nuestra esperanza

muchas gracias

******************

«Mi mas sincero apoyo para la gente y los familiares de los secuestrados, esto no nos tiene que hacer caer, esto debe hacernos mas fuerte y seguir adelante... ahora mas q nunca juntos podemos! Y estoy segura q lo menos pensado los tenemos de vuelta! ANIMO!!!!»

«Desde la Asociación de Amigos del Pueblo Saharaui de Talavera de la Reina nuestro más rotundo apoyo y solidaridad para Ainhoa, Eric, Rosella y sus familias. Esperamos y confiamos en que pronto estareis de vuelta con nosotros y ayudando al pueblo saharui. Ánimo y ¡¡Sahara Libre!!»

«A las familias de Rosella, Ainhoa y Enric, también a sus compañeros y amigos de trabajo en su labor solidaria. Mi apoyo en estos momentos duros y difíciles y el deseo de que muy pronto estén con nosotros sanos y salvos.»

«Hola, Yo quiero mucho a los saharauis y valoro tanto el trabajo de todos los cooperantes alli. Deseo mucho mucho que Ainhoa, Enric y Rosella sean liberados pronto. Tenemos el corazon con ellos y su familia y amigos. Ojala que sea pronto, YA!! Un gran saludo.»

«ESPERO QUE PRONTO ESTEIS EN EL CENTRO DE RECEPCION DE RABUNI PARA REGRESAR A ESPAÑA Y RECUPERAR FUERZAS Y VOLVER CON GANAS A LA LUCHA DEL PUEBLO SAHARAHUI,SE LO MERECEN»

«Desde el primer día, hasta que regreseis a casa, no se os deja de pensar un solo instante...»

«Quiero manifestar mi más enérgica repulsa ante esta acción tan vil y miserable , como es el secuestro de los cooperantes Rosella , Ainhoa y Enric y también todo mi apoyo a sus familiares , amigos , y a todos los-as cooperantes , que realizan una labor fabulosa imposible de valorar y espero que en el plazo de tiempo mas breve posible sean estos liberados en perfectas condiciones de salud.»

«En estos momentos tan duros para vuestras familias como para vosotros tres, quisiera haceros llegar mi más profunda solidaridad y mi admiración por vosotros. Cada hora, el sentimiento de incertidumbre y angustia nos rodea como una nube negra que nos ciega de rabia y furia pidiendo a gritos vuestra liberación. Confío en que pronto ésta terrible situación cambie, y os podamos recibir como mereceis. Mientras tanto, todo mi cariño y fuerza está con vosotros... ¡ya queda menos!!»
Algunos mensajes recogidos para nuestros compañeros

«

Todos somos Ainhoa, Eric y Rosella, los que conocemos la vida del pueblo saharaui sabemos que esta lucha es justa. Pronto notaremos su presencia nuevamente, estáis en nuestros corazones y en todos los corazones, sonrisas e infinidad de muestras de cariño que nos dan los saharauis.»

«Por muchos motivos, y porque me enorgullece que mi grupo, JAIMA, AMIG@S DE LA RASD, no han dejado los campamentos y siguen trabajando en Dajla, vamos a seguir apoyando a este pueblo y las organizaciones y familias que están sufriendo por sus compañeros...ánimo y SÁHARA LIBRE!»

«Tod@s l@s militantes de la ODS 2°G , condenan enérgicamente el acto vil contra los tres cooperantes en Rabuni en los campamentos de refugiados saharauis , donde estuvieron ejercer la labor mas humana que puede existir en nuestro mundo . Así , a las familias y ONGs de los tres cooperantes nos gusta que les llega de nuestra parte nuestro mas sincero apoyo , esperando su liberación lo mas ante posible y su vuelta a la labor que ejercían y también a sus familia y ONGs salvos y sanos .»

«Quiero manifestar mi más enérgica repulsa ante esta acción tan vil y miserable , como es el secuestro de los cooperantes Rosella , Ainhoa y Enric y también todo mi apoyo a sus familiares , amigos , y a todos los-as cooperantes , que realizan una labor fabulosa imposible de valorar y espero que en el plazo de tiempo mas breve posible sean estos liberados en perfectas condiciones de salud.»

«En estos momentos tan duros para vuestras familias como para vosotros tres, quisiera haceros llegar mi más profunda solidaridad y mi admiración por vosotros. Cada hora, el sentimiento de incertidumbre y angustia nos rodea como una nube negra que nos ciega de rabia y furia pidiendo a gritos vuestra liberación. Confío en que pronto ésta terrible situación cambie, y os podamos recibir como mereceis. Mientras tanto, todo mi cariño y fuerza está con vosotros... ¡ya queda menos!!»

«Moito ánimo para a familia, nestes momentos tan difíciles non estades sos. Moita sorte para os tres compañeiros secuestrados. De seguro que algunha vez pasearemos por un Sáhara liberado.»

«En mi nombre como saharaui y atreves de esa oportunidad que me habéis dado , envió mi sincero apoyo incondicional a las familias de los tres cooperantes que han dejado toda su comodidad para ayudar a gente que les necesita verdaderamente en un mundo lleno de injusticias ,pero gracias a gente como ellos los saharauis pueden ver que hay todavía una esperanza y un futuro mejor ,espero de mi corazón que vuelvan lo mas pronto posible sanos y salvos a sus queridas familias y que sepáis que no estáis solos todos somos ainhoa, enric y rossella ,mucho animo»

«Asociación Colectivo saharauis en Guipuzcoa. Deseamos su pronta liberación sanos salvos. un saludo a las familias y que los tenemos presentes en cada momento. No se puede expresar lo que están sufriendo en estos días. de parte de los sahrauis que residimos en Guipuzcoa un abrazo muy fuerte y ánimo.»

«Mi solidaridad y apoyo a Ainhoa,Rossella y Enric y mis deseos de su pronta libertad. Seguimos compañeros, no nos van a parar SAHARA LIBRE YA!!!»

«Des de l'ACAPS Wilaia Alt Penedès volem fer arribar la nostra solidaritat a Ainhoa, Enric i Rossella i exigim el seu alliberament immediat i que s'aclareixi el segrest. Ells tres són nosaltres i nosaltres som ells. Per tant, nosaltres continuarem cooperant amb el poble sahrauí als campaments de refugiats, als territoris ocupats i on faci falta. Al més de desembres/gener un grup de cooperants es desplaçarà als campaments i hi anirem amb tota la tranquil.litat i comfiança amb el poble sahrauí. Volem condemnar el segrest de la cooperació amb el poble sahrauí, que el Govern de l'Estat insinua dur a terme amb mesures suposadament per garantir la seguretat dels cooperants. Volem condemnar la conducta desvergonyida de Trinidad Jiménez, el seu vassallisme amb el Marroc i el seu menyspreu al poble sahrauí i als drets humans. La complicitat del Govern de l'Estat amb la corona alauïta és delictiva i còmplice de genocidi i de crims contra la humanitat. Exigim, només, que es compleixi la legalitat internacional, que es respectin els drets humans i civils del poble sahrauí, que s'aturi l'espoli i que es dugui a terme el refereèndum d'autodeterminació del poble sahrauí. Ainhoa, Enric i Rosella, estem amb vosaltres, som vosaltres i volem que el vostre alliberament sigui immediat. Una abraçada a tothom. Visca el Sàhara lliure! Miquel Cartró ACAPS Wilaia Alt Penedès»


http://saharaindependiente.org/spip.php?article1100&id_donnee=1507#form1

acuerdo entre el MLNA y Ansar Dine ??

El supuesto acuerdo entre el MLNA y Ansar Dine no será posible

les dejo la noticia en francés


saludos

*************************

Mali : le MNLA rejette la fusion avec les islamistes d'Ansar Dine


C'est une information RFI : la fusion entre les rebelles touaregs du MNLA et les islamistes d'Ansar Dine n'est plus d'actualité. Dans un communiqué du bureau politique et du bureau exécutif, le MNLA rejette catégoriquement l'accord signé le 26 mai avec Ansar Dine à Gao. Le texte élaboré par les deux mouvements faisait mention d'un Etat islamiste de l'Azawad indépendant régi par la loi islamique. Le MNLA dénonce ce texte jugé trop radical, contraire à ses valeurs.

Depuis dimanche de nombreuses voix se sont élevées à Gao, Tombouctou, mais aussi dans les diasporas tamacheks pour dénoncer un accord jugé inacceptable. Selon des cadres du MNLA présents à Gao, ce texte est incompatible avec les valeurs du MNLA, Mouvement national de libération de l'Azawad : il y est question d'Etat islamique entièrement fondé sur le Coran, et sur la sunna.

Hamma Ag Mahmoud, membre du bureau politique du MNLA, s'en explique :
Hamma Ag Mahmoud

Membre du bureau politique du MNLA, Mouvement national de libération de l'Azawad

Aujourd'hui, nous mettons fin totalement à cet accord. Ansar Dine veut absolument appliquer la charia, et nous nous sommes un mouvement laïque. Il n'a jamais été question de mouvement intégriste (…) Cette rupture peut coûter cher au MNLA. Mais nous sommes les seuls à pouvoir combattre les islamistes dans cette région. Nous savons le faire.

Au MNLA, on se défend d'avoir cru à cet accord « en se rapprochant d'Ansar Dine ,on voulait éviter à des jeunes de chez nous d'aller se perdre chez Aqmi, mais finalement», reconnait ce cadre de Gao « nous avons été floués ».

Certains accusent l'intransigeance d'Ansar Dine sur la question de la charia mais accusent aussi des responsables du MNLA qui ont joué depuis le début, un double jeu vis-à-vis du groupe de Iyad Ag Ghali : ce rejet unilatéral va faire tomber les masques et clarifier les positions mais le MNLA joue gros.

Parmi les dirigeants, on ne cache pas l'inquiétude de voir partir des combattants vers Ansar Dine, plus riche et plus fort. Mais, on se dit prêt à prendre ce risque pour démontrer à la communauté internationale que le MNLA peut être un partenaire crédible pour lutter contre les terroristes d'Aqmi, Al-Qaïda au Maghreb islamique.



RFI / 01 /06/2012
http://www.maliweb.net/news/la-situation-politique-et-securitaire-au-nord/2012/06/01/article,70440.html